Album // Guðrún Eva Mínervudóttir

Album // Guðrún Eva Mínervudóttir

Date:21 janvier 2015
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Category:en librairie
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Traduit de l’islandais par Catherine Eyjólfsson

2002

116 pages // 14 euros
ISBN : 979-10-92159-05-9
Diffusion-distribution : Les Belles Lettres
Parution : 13 février 2015

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Album Guðrún Eva MínervudóttirIncontournable recueil des anecdotes du quotidien, témoin de la genèse familiale et mémoire imagée du foyer, l’album photo est une pièce constitutive de l’histoire de chacun. Guðrún Eva Mínervudóttir travaille son récit en rendant hommage à ces compilations mémorielles, et choisit de présenter, de manière chronologique, de courts textes qui photographient ses souvenirs et évoquent de courts instants de sa plus tendre enfance jusqu’à son entrée dans l’âge adulte. D’une écriture humble et précise, elle dissèque diverses situations pour en dégager des sensations merveilleusement intactes, qu’on aurait pensées indicibles.
Album aurait pu n’être qu’un exercice littéraire mais, parce qu’il est conçu avec une tendresse véritable et dénuée de mièvrerie, c’est un roman d’une incroyable douceur, où l’on s’attache aux personnages et où l’on voit se dérouler les aléas d’une mère célibataire, d’une petite fille amoureuse, et de quelques intervenants de passage. Détachée de tout narcissisme, ancrée dans la trivialité d’un quotidien islandais désargenté, Guðrún Eva Mínervudóttir raconte sa saga, explique pourquoi elle est amoureuse de Derrick, et on la comprend : c’est parce qu’il « surclassait les autres personnages de la télé comme un pur sang arabe au milieu d’un troupeau de moutons atteints du tournis ».

 

☞ Guðrún Eva Mínervudóttir

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REVUE DE PRESSE

☞ Sur Radio Campus Lille, Nikola Delescluse loue dans l’émission Paludes « un texte d’une très grande grâce et d’une très grande élégance. Album s’ouvre avec délectation, se parcourt avec beaucoup de plaisir, d’amusement et de tendresse, et se ferme avec une pointe de nostalgie » : écouter ici.

☞ Eric Boury, traducteur et spécialiste de l’Islande : « A lire absolument pour les amoureux de la littérature, qu’elle soit d’Islande ou d’ailleurs, ce livre petit par son format mais grand par sa beauté, son intelligence, sa sensibilité, sa distance au monde. »

 

 

LES LIBRAIRES EN PARLENT

☞ L’avis d’Isabelle Charmette, de Gibert Barbès (Paris 18e) : « Quel ravissement ! Entre Enfance de Nathalie Sarraute et un livre pour enfants. On découvre à travers les yeux d’une petite fille des instantanés de sa vie d’une espièglerie et d’une poésie rare en ce bas monde. Un moment de volupté ! »

☞ L’avis de Charlotte Desmousseaux (Nantes, 44) : « Par petites scènes intimes, dévoilées comme des trésors, des cauchemars ou des fables, Guðrún Eva Mínervudóttir laisse son enfance rejaillir dans un mouvement d’écriture à la fois sombre et généreux. La justesse des évocations, la place du corps (sensible, interrogateur, sensuel, mûrissant, sauvage et social), les détails et le quotidien d’une enfance islandaise font de ce livre une merveille, un joyau aux faces polies par l’effort de mémoire et lumineux comme un retour aux racines. »

☞ L’avis de Jacky Flenoir, de la librairie Calligrammes (La Rochelle, 17) : « La joie de partager le bel Album de Guðrún Eva Mínervudóttir, elle nous dessine son enfance islandaise en 105 saynètes pleines de tendresse et d’espièglerie. Magnifique ! »

☞ L’avis de la librairie Tropismes (Bruxelles, Belgique) : « Les éditions Tusitala nous enchantent encore… Lisez Album, le nouveau roman de l’Islandaise Guðrún Eva Mínervudóttir ! »

☞ L’avis d’Alexandra Romaniw de la librairie L’Atelier (Paris 19e) : « Un roman au ton léger, drôle et cruel qui raconte parfaitement l’enfance, ses étapes, ses mystères, sa beauté. Un livre d’une délicieuse fraîcheur, à lire absolument ! »

☞ L’avis de la librairie A Livre ouvert (Belgique) : « Dans son nouvel opus Album publié par Tusitala, Guðrún Eva Mínervudóttir nous enchante à nouveau. Elle photographie ses souvenirs d’enfance dans de courts textes tendres et vibrants. »

☞ Coup de coeur du mois de mars à la librairie La Lorgnette  (Mende, 48) : « C’est drôle, sensible, poétique, parfois cruel et surtout très touchant ! »

Tusitala