Le temps est la plus grande distance // Larry Fondation
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Romain Guillou
280 pages // 20 euros
ISBN : 979-10-92159-23-3
Diffusion-distribution : Les Belles Lettres BLDD
Parution : 5 mars 2021
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Étudiant brillant, Lawrence préparait une thèse sur les écrivains Nathaniel Hawthorne et Nathanael West quand il a perdu pied. Dépression, dégringolade, pour échouer sur les trottoirs de Los Angeles. Entre démence et lucidité, Lawrence survit dans un monde cabossé.
Hanté par son passé et ses lectures, il confond les opérations de police de la ville et les procès des sorcières de Salem, ressasse ses vieux cours de biologie et tâche tant bien que mal de se raccrocher au peu qui lui reste : ses rassurantes superstitions, les corbeaux qu’il côtoie, et Bekah.
Sous la forme d’un roman déroutant et émouvant, Larry Fondation raconte l’âpreté de la rue à travers le regard d’un homme égaré, enlisé dans les bas-fonds de L.A. comme dans le labyrinthe de son esprit instable.
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L’AVIS DES LIBRAIRES
☞ Coup de coeur de Corentin à la librairie Brouillon de culture (Caen) : « Larry Fondation fait partie de cette génération bercée par les grands auteurs américains comme Kerouac, Fante et Bukowski. On a affaire à un grand roman de la rue, une vie de « clochard céleste » magnifiée par le style sale et poétique où la forme du collage entre en écho avec l’esprit en ébullition du héros. Gé-nial !! » > LIRE ICI
☞ Coup de coeur de Mathilde à la librairie Delamain (Paris) : « Ouvrez ce roman à n’importe quelle page : on ne peut qu’être saisi par la beauté simple et crue des mots de Larry Fondation. Une lecture qui plonge presque dans un état second tant elle déroute. Superbe. » > LIRE ICI
☞ Chez Myriagone à Angers, on ne mâche pas ses mots : « Âpre, mystérieux, touchant, allusif, volontairement lacunaire, Le temps est la plus grande distance, construit comme un puzzle, annonce la couleur dès les premières lignes et nous attrape instantanément. Une nouvelle oeuvre du grand Larry Fondation, pleinement sociale, inventive, marquée par une écriture surprenante, immersive, protéiforme, jeu de piste langagier, dédale dont on n’a pas d’autre choix que de suivre les couloirs tortueux. Ça déglingue ! »
☞ Coup de coeur de Hugues chez Filigranes (Bruxelles) : « BOULEVERSANT. Encore une incroyable parution des fantastiques éditions Tusitala. » > VOIR ICI
☞ À la librairie Papyrus de Namur : « La descente aux enfers d’un étudiant brillant, de l’université jusqu’aux bas-fonds de Los Angeles – décousu, noir et poétique. »
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REVUE DE PRESSE
☞ Dans Le Monde des livres, Véronique Ovaldé évoque ce « poète impitoyable » : LIRE ICI.
☞ Dans la revue 813 : « Superbe roman labyrinthique et émouvant qui raconte, avec une profonde authenticité, l’âpreté de la rue. »
☞ Bel article, très poussé, dans Le Matricule des anges : « En donnant à voir par les yeux d’un naufragé, c’est notre regard sur tous les naufragés qu’il change, sans larmes ni violons mais avec une justesse dont manqueront toujours les bienveillances autoproclamées des littératures bien-pensantes. » > LIRE ICI
☞ Belle analyse et lecture du roman dans l’émission Paludes sur Radio Campus Lille : ECOUTER ICI.
☞ L’émission Variation en noir sur Radio PFM se concentre sur Larry Fondation (et Barry Graham) > ECOUTER ICI (à partir de 26′)
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